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Romy Sheridan - Birdy

Sujet: Romy Sheridan - Birdy   Lun 26 Fév - 15:53
Romy Sheridan
Romy Sheridan
J'habite à Londres depuis le : 26/02/2024 où j'ai posté : 18 messages et accumulé : 37 points d'expérience. On dit que je ressemble à : Sofia Carson j'ai : 28 ans et ma situation sentimentale est : Célibataire J'incarne également : Mallory, Alec, Benoît, Kylie et Gabriel


This is not the world we have in mind
Romy Sheridan est incarnée par Sofia Carson
Age & nationalité28 ans, anglaise
Civil ou héros ?Héros
Statut & orientationCélibataire et bisexuelle
Métier SHinky
Surnom de héros Birdy
Gang Non
Groupe SHinc

   

A la découverte de Romy



La première chose à savoir sur Romy, c'est qu'elle est déterminée, elle se donne les moyens pour obtenir ce qu'elle veut. Assez jeune, elle a compris que si elle voulait que sa voix compte, il fallait qu'elle devienne une personnalité publique, ce qu'elle s'est efforcée de faire. D'abord en envisageant une carrière dans la chanson, ou, a minima dans le monde du spectacle, puis en se tournant vers le SHinc qui lui a apporté la visibilité qu'elle voulait. Cette visibilité obtenue lui permet de lutter contre les injustices et de soutenir les combats des minorités, des personnes LGBTQIA+ et des femmes. Quand elle le peut, elle apporte également son soutien aux associations d'aide aux enfants, notamment à celles qui favorisent l'accès à l'éducation aux enfants du monde entier.

Bien qu’elle soit SHinky, ça n’empêche pas Romy d’être lucide sur l’entreprise dans laquelle elle travaille. Elle sait qu’il y a des abus et elle n’approuve pas la politique du SHinc qu’elle juge même parfois dangereuse. C’est d’ailleurs pour ça qu’elle a refusé le rôle de mascotte quand on le lui a proposé : hors de question d’être la porte-parole d’une entreprise sans pouvoir donner son opinion. Si Romy est loyale, elle l’est avant tout envers elle-même et ses idées avant de l’être vis-à-vis de son employeur. Certains trouveront ça égoïste, pour elle, il s’agit avant tout de se préserver. Pour l’heure, le SHinc lui permet d’obtenir ce qu’elle veut sans que ça ne lui en coûte trop mais si cet équilibre change, elle n’hésitera pas à quitter le navire plutôt que de couler avec.  

Autre point important, Romy a confiance en elle et ça se voit. Chez elle, ça se traduit par de la coquetterie et un sens aigu de la mode. De ce fait, quelle que soit l’occasion, elle est toujours bien apprêtée : maquillage, coiffure, tenue, rien n’est laissé au hasard. Cette coquetterie lui ouvre d’ailleurs des portes puisqu’elle est souvent invitée à des galas ou autres avant-premières. Pour autant, Romy n’a pas pris la grosse tête et ne possède pas un égo démesuré malgré sa popularité, même si certaines personnes pensent le contraire. Elle reste toujours prête à aider les autres et à tendre la main en cas de besoin. Elle est très investie dans plusieurs associations, mais pas uniquement en tant que représentante puisqu’elle n’hésite pas à mettre la main à la pâte, même si ça signifie ruiner sa manucure.

Si Romy renvoie une image de perfection, c’est parce qu’elle s’efforce d’entretenir cette illusion, aussi bien pour les autres que pour elle-même. Fonceuse par nature, Romy ne prend que très rarement le temps de se poser pour réfléchir et faire le point sur ce qu’elle vit ou ressent. Selon elle, ça n’a aucun intérêt, mais ça lui cause plus de problèmes qu’autres choses. C’est comme ça, par exemple, qu’elle s’est retrouvée mise devant le fait accompli quand son ex lui a parlé de rupture parce qu’elle n’avait pas vu les prémices de ce qui arrivait. Cette habitude de tout vivre à cent à l’heure l’empêche parfois de comprendre pleinement les sentiments de son entourage et, plus problématique, de s’exprimer clairement sur ce qu’elle ressent. N’étant pas du genre à s’attarder sur les petites contrariétés, elle les refoule, sans se soucier de l’accumulation qui se crée.
   

   

Bordy, le portrait exclusif !





Bonjour à tous·tes et bienvenue dans ce portrait réalisé par le SHincMag !

Je m’appelle Romy Marilyn Audrey Sheridan, j’ai 28 ans mais vous me connaissez sûrement mieux sous le nom de Birdy ! Je suis née le 20 août 2007 à Bogota, en Colombie, mais je n’en ai aucun souvenir puisque j’ai quitté le pays deux semaines plus tard pour arriver à Londres où j’ai passé le reste de ma vie avec mes deux papas : Jon et Jaime. Je dirais bien que j’ai eu une enfance normale et sans problèmes, mais ça serait mentir. Grandir quand on a deux pères, c’est grandir en faisant face aux regards jugeant des parents, c’est grandir en apprenant à répondre à des questions qu’un enfant ne devraient pas avoir à se poser, c’est grandir en essuyant des remarques qu’on ne comprend pas toujours. Bref, c’est grandir en se faisant juger par une société qui n’est, finalement, pas aussi tolérante qu’elle aimerait le faire croire. Une société qui aimerait nous convaincre que grandir en ayant deux parents du même sexe n’est pas normal, que c’est contre-nature et que ça fera de nous des enfants mais surtout des adultes bizarres, mais c’est faux. Pour moi, grandir avec deux pères, ça a été grandir dans un foyer rempli d’amour, dans lequel j’étais choyée, soutenue et libre d’être moi-même. Je dirais même que ça ne m’a pas trop mal réussi, vous ne trouvez pas ?

Contrairement à ce qu’aimeraient penser les homophobes, j’ai eu une enfance heureuse, j’avais des amis et des bonnes notes à l’école. A vrai dire, je pense même que j’ai eu une enfance plus heureuse que la plupart de mes amis de cette époque parce que je n’ai pas eu à gérer le divorce de mes parents contrairement à beaucoup de mes camarades et que je n’ai pas eu la pression de devoir me fondre dans le moule de la société. J’ai aussi grandi dans un lieu magique qui m’a toujours fait rêver : Magic House le cabaret de mes parents. On me demande souvent d’où vient ma passion pour la scène, la réponse est simple : elle vient de là. J’ai grandi dans un milieu plein de paillettes, de plumes d'autruche et d’artistes en tout genre qui performaient sur scène. Très jeune, j’ai su que je voulais m’orienter vers un métier artistique et j’ai eu la chance d’avoir des parents qui m’ont encouragée dans ce sens. Ainsi, j’ai pu suivre des cours de danse, de chant mais aussi de musique et particulièrement de piano. Même si je n’excelle pas partout, je fais toujours de mon mieux et je m’investis énormément, ce qui m’a permis d’être polyvalente ! C’est d’ailleurs grâce à ça que j’ai été sélectionnée pour participer à Miss Angleterre, quand j’avais 19 ans, et que j’ai fini première dauphine. J’avoue, j’aurais préféré avoir la couronne, mais on ne peut pas gagner à chaque fois. (rires)



Cette année-là, celle de mes 19 ans, a été marquée par deux évènements majeurs : l’élection de Miss Angleterre, qui m’a occupée un bout de temps, et l’apparition de mes pouvoirs. Autant dire que le jour où je me suis mise à flotter, j’ai été plus que surprise ! Il ne m’a pas fallu très longtemps pour comprendre ce qu’il se passait et après ça, j’ai du prendre une décision : quoi faire de ces pouvoirs ? Aujourd’hui, ce n’est un secret pour personne que je suis une SHinky, mais à l’époque, j’ai vraiment hésité sur la marche à suivre. Il m’a fallu plusieurs mois de réflexion avant que je me décide à postuler au SHinc.

Je ne vous cache pas qu’au début, ça a été compliqué, j’étais une artiste, pas une combattante, mais j’ai appris à être les deux par la force des choses. Je crois que le déclic s’est fait la première fois que j’ai été vraiment blessée en mission. Un coup, plus violent que les autres, et je me suis retrouvée avec des côtes cassées. Ce jour-là, j’ai vraiment réalisé que des gens étaient prêts à tuer des super-héros et que j’avais tout intérêt à apprendre à me défendre. Alors, une fois guérie, j’ai redoubler d’efforts pour apprendre à me battre, à tirer et à me sortir de situations délicates. C’est une routine bien ancrée que je continue d’avoir et que je partage désormais avec mon partenaire : Phénix. Ça fait quelques années maintenant qu’on travaille ensemble et si la collaboration a mis un peu de temps à se mettre en place, je dois reconnaître que nous sommes très complémentaires l’un de l’autre, ce qui fait que notre duo fonctionne bien.

Si rejoindre le SHinc m’a éloignée de la carrière dont je rêvais initialement, ça m’a également apporté beaucoup de choses. Grâce à ça, j’ai pu me trouver un nouveau but, je contribue à aider au maintien de la paix dans notre belle ville de Londres. La notoriété que j’ai acquise en tant que Birdy m’a aussi permis de réaliser plusieurs de mes rêves. Je suis très heureuse d’avoir pu collaborer avec d’autres artistes sur un single ou encore d’avoir été l’égérie d’une marque de cosmétique pendant deux ans et d’avoir été l’ambassadrice de plusieurs grandes soirées de charité aux profits de différentes associations. Ces dernières années particulièrement, j’ai l’impression que ma voix compte et que je contribue à faire changer les choses. C’est très gratifiant et j’espère continuer dans cette voie.



Aaaah William, c’est vrai qu’on me pose souvent des questions sur lui et notamment sur notre séparation, en 2033. Je ne mentirais pas en disant que ça n’allait plus dans notre couple quand on s’est séparé et que la rupture m’a brisé le cœur. Oui, me séparer de William a été douloureux, mais cette décision a été prise à deux et je pense toujours sincèrement que c’était la meilleure chose à faire. C’est vrai, pendant trois ans, on a été très heureux ensemble, mais ça a également été une relation très médiatisée, surtout sur la fin. Régulièrement, des photos volées de nous deux finissaient régulièrement dans un magazine ou étaient diffusées en masse sur les réseaux sociaux. Par moment, c’était compliqué de sortir tous les deux parce qu’on était pris d’assaut par des fans, des journalistes ou par des photographes. Même si j’adore mes fans et que je suis heureuse d’inspirer autant de personnes, j’ai appris, à mes dépens, qu’il est important de garder sa vie privée privée justement. Cette leçon, je l’ai surtout apprise aux dépens de William qui, contrairement à moi, était un citoyen lambda qui s’est retrouvé projeté sous les feux des projecteurs. Plus notre relation avançait et plus la situation lui pesait, au point qu’il s’est retrouvé contraint à faire un choix : retrouver une vie plus calme ou continuer à être avec moi. Je ne pense pas avoir besoin de préciser le choix que nous avons fait.

Avec le recul, je peux dire que cette séparation, même si elle n’a pas été facile, était nécessaire, pour nous deux. Moi, ça m’a permis de prendre du recul avec les réseaux sociaux et de prendre des précautions pour que ma vie privée soit beaucoup moins exposée. De son côté, William a quitté Londres pour la campagne, je ne dirais pas où, et il a pu retrouver une vie anonyme qui l’épanouit pleinement. Je reçois de ses nouvelles de temps en temps puisqu’on a gardé contact, et j’ai été heureuse d’apprendre qu’il s’est marié dernièrement. Tout ce que je souhaite, c’est son bonheur, et le mien, évidemment. Je n’ai pas eu autant de chance que lui côté coeur mais ça ne m’empêche pas d’être heureuse pour autant. J’aime mon travail, j’ai plein de projets à côté qui m’enthousiasment énormément et je suis très bien entourée, que ce soit par mes parents ou par mes amis. Peut-être qu’un jour, Cupidon frappera de nouveau mais pour l’heure, je n’ai pas à me plaindre de la vie que je mène, au contraire même !

N.B : reportage non publié

   
Derrière l'écran
On m'appelle Aelyne, j'ai quelques années et je joue un inventé. J'ai trouvé SHinc par un pur hasard vraiment Romy Sheridan - Birdy 173050776 et pour finir je dirais It's time to shine
Crédit & Parrainage
Je crédite Aelyne.

Je souhaite être parrainé(e) par un membre : [ ] Oui [X] Non

Vol



Niveau 1 : Le ballon d'hélium - Romy peut léviter jusqu’à deux mètres au-dessus du sol, elle peut également se déplacer mais lentement, comme si elle nageait la brasse.
Niveau 2 : L’hirondelle - Romy est maintenant capable de voler ! Comme une hirondelle, elle peut atteindre une vitesse de vol de 60km/h, mais elle est incapable de voler avec quelqu’un.
Malus 2 : Mal des transports - Lorsqu’elle atterrit après avoir volé, Romy est incapable de se déplacer autrement qu’à pieds sous peine de souffrir d’un mal des transports violent et ça, quelque soit le moyen de transport utilisé. Bus, voiture, métro, vélo ou trottinette, ça la rendra malade. La durée de son malus est proportionnelle à la durée du vol effectué.
Niveau 3 : Le faucon pèlerin -  A ce niveau, Romy se déplace aussi vite qu’un faucon pèlerin lorsqu’elle est seule, pouvant atteindre des pointes de vitesse jusqu’à 180km/h. Elle peut également transporter une personne (ou deux enfants) avec elle mais en se déplaçant à une vitesse de 60km/h maximum.
Malus 3 : Anti-gravité - Dès l’instant où elle se pose au sol, Romy n’est plus soumise à la force de gravité. C’est-à-dire qu’elle s’élève loin du sol jusqu’à ce que sa progression soit stoppée, soit par un plafond, soit parce qu’elle se retient à quelque chose. Là encore, la durée de ce malus est proportionnelle à la durée de son vol mais il ne durera jamais plus de 24 heures.






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